Le P.AI.S Mali salue la dignité, l’élégance du leader panafricaniste, Ousmane Sonko, de céder sa place à Bassirou Diomaye Faye
Le dimanche 24 mars 2024, le Peuple sénégalais était appelé aux urnes pour élire son cinquième président de la République. Au terme d’un scrutin âprement discuté entre les différents candidats pour le poste suprême de la magistrature du pays, le candidat de PASTEF (Patriotes Africains du Sénégal pour le Travail, l’Ethique et la Fraternité), Bassirou Diomaye Faye, choisi comme plan B par l’opposant Ousmane Sonko, a été élu dès le premier tour par le peuple avisé du Sénégal, attaché à la démocratie. Suite à ce succès sans contexte du candidat de l’antisystème sénégalais ou de la rupture, le Parti Africain pour l’Intégration et la Souveraineté (PAIS) du Mali, à travers un communiqué signé par son président Boubakar Bocoum, le 25 mars 2024, s’est réjoui du choix porté par les Sénégalais sur Bassirou Diomaye Fayes, comme cinquième Président de la République du Sénégal.
Le Parti Africain pour l’Intégration et la Souveraineté (PAIS) / PASTEF 2023-PAIS, indique le communiqué, salue la dignité et l’élégance par laquelle le leader panafricaniste Ousmane Sonko a su s’effacer pour le combat commun en donnant la possibilité à Monsieur Bassirou Diomaye Faye de se présenter aux élections sénégalaises en ses lieux et places. Le mouvement PASTEF AFRICA, ajoute le communiqué, mis en place par des panafricains pour battre campagne pour le PASTEF SENEGAL à travers l’Afrique après sa dissolution par Macky Sall, se félicite de la brillante élection de son candidat. Nous, poursuit le communiqué, félicitons le peuple sénégalais qui à travers sa désobéissance civile obligé le pouvoir en place à se ressaisir en acceptant la candidature de Monsieur FAYE.
Nous attirons par conséquent, dit la note, l’attention du nouveau Président Sénégalais son Excellence Monsieur Bassirou Diomaye Faye des défis panafricains suivants :
La question de l’intégration sous régionale à travers l’AES ; la question de la monnaie unique africaine avec la création des branches de l’Alliance du Sahel ; la promotion des nouveaux partis panafricains pour des solutions alternatives pour le développement économique social et culturel du continent ; la question de la fédération des états unis d’Afrique ; la question de la relance globale de l’économie à travers la mobilisation des ressources ; la question du renouveau du partenariat mondial : revisiter les accords internationaux au profit continent pour un développement durable ; la question de la Coentreprise sécuritaire de l’Afrique.
Par IBN